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Île de Man – GVC profite du redressement de Sportingbet

GVC Holdings a attribué à son acquisition de Sportingbet un niveau record d'EBITDA propre pour 2013 à 38.3 millions d'euros, ce qui est supérieur aux attentes récemment revues à la hausse du marché.

Le redressement financier de Sportingbet s'est achevé au cours de l'année par une restructuration significative et l'activité acquise est redevenue rentable, contribuant au Clean EBITDA de 4.7 M€.

Ce redressement financier a permis à GVC non seulement de verser un dividende trimestriel de 11.5 centimes d'euros, conforme à ce qu'elle avait déjà versé plus tôt en 2014, mais également d'annoncer un dividende exceptionnel de 4.5 centimes d'euros supplémentaires. Cela signifie que le dividende total déclaré pour l'année est de 48.5 centimes d'euros, soit une augmentation de 120 % par rapport à 2012 (22.0 centimes d'euros).

Chez Sportingbet, GVC a acquis et développé une plate-forme sportive leader sur le marché, et c'est cela, ainsi qu'une infrastructure d'entreprise plus « adaptée à son objectif », qui a permis au conseil d'administration d'être prêt pour de nouvelles acquisitions et investissements. GVC bénéficie déjà de l'intégration réussie de Sportingbet, comme en témoignent les niveaux records de transactions au premier trimestre 1, avec des revenus dépassant pour la première fois les 2014 millions d'euros par trimestre.

Le président Lee Feldman a déclaré : "L'année 2013 a vu un changement radical dans la GVC, sa taille, sa complexité, mais surtout sa rentabilité, sa génération de cash et les dividendes versés aux actionnaires suite à l'acquisition de Sportingbet plc le 19 mars 2013. Le Groupe génère désormais plus de 1.2 Md€. par an dans les paris sportifs, et les revenus totaux au premier trimestre 2014 ont dépassé les 50 millions d'euros, soit une moyenne de plus de 556 milliers d'euros par jour, contre 394 milliers d'euros un an plus tôt. À la date de ce communiqué, la capitalisation boursière de GVC dépasse désormais 230 millions de livres sterling et, entre 2009 et 2013, le groupe a versé à ses actionnaires 51.8 millions de livres sterling de dividendes et est déjà classé parmi les payeurs de dividendes les plus rentables sur l'AIM.

Kenneth Alexander, directeur général de GVC Holdings, a ajouté : « La réalisation de l'acquisition complexe et du redressement de Sportingbet a constitué une étape importante pour GVC et a conduit à une plus grande diversification géographique et à une augmentation significative des bénéfices et des dividendes. Nous sommes maintenant prêts à passer à la prochaine étape de notre développement d'entreprise et à poursuivre notre expansion géographique par le biais d'une croissance organique et d'acquisitions. GVC vise à y parvenir sans diluer le dividende. Le Conseil d'administration est convaincu de pouvoir répondre aux attentes actuelles du marché pour l'exercice 2014, grâce à notre proposition de dividende de 16 cents au total.

GVC a considérablement restructuré Sportingbet et son bilan, qui présentait non seulement un déficit de fonds de roulement de 50 millions d'euros au moment de l'acquisition, mais qui était également considérablement déficitaire et consommait des liquidités. Au cours des neuf mois et demi qui ont suivi l'acquisition, un redressement financier a été réalisé, ce qui s'est traduit par un EBITDA propre pour Sportingbet de 4.7 millions d'euros, dont 3.8 millions d'euros générés au cours du seul quatrième trimestre 4.

L'acquisition et les coûts de restructuration ultérieurs ont été largement financés par l'émission de 29 millions d'actions supplémentaires aux actionnaires existants de Sportingbet à un prix de « roll-over » par action de 2.48 £ ; et de William Hill plc, une contribution de 36.5 millions de livres sterling ainsi qu'un prêt à long terme de 6.9 ​​millions de livres sterling.

Tourné vers l'avenir, M. Feldman a expliqué : « Au cours des 12 prochains mois, le Groupe cherchera à : accélérer sa pénétration au Brésil, pays hôte de la Coupe du Monde de la FIFA ; générer davantage de synergies grâce à l'acquisition de Sportingbet ; améliorer l'offre de produits, notamment mobiles ; continuer à développer les nombreux marchés sur lesquels GVC opère ; et consacrer plus de temps de direction à des opportunités d’investissement et d’acquisition non dilutives.

« Les échanges actuels au cours du premier trimestre 2014 ont atteint des niveaux records, avec des paris sportifs en moyenne de 3.8 millions d'euros par jour, une marge sportive de 10.1 pour cent et un revenu net moyen des jeux augmentant de 41 pour cent à 556 394 euros par jour par rapport au revenu net moyen des jeux en hausse de 2013 pour cent à 6.3 523 euros par jour. 2014 2014 euros en 16, soit une hausse de XNUMX pour cent par rapport aux XNUMX XNUMX euros du premier trimestre XNUMX », a-t-il ajouté. "Le Conseil d'administration est donc confiant de pouvoir répondre aux attentes actuelles du marché pour l'exercice XNUMX, grâce à notre proposition de dividende de XNUMX cents."