Il y a quelque chose de tout à fait présidentiel dans le fait d'emmener un avion de passagers entier à destination de Bruxelles avec seulement cinq autres passagers à bord.

Le fléau causé par le nuage de cendres volcaniques sur les vols européens s'était dissipé quelques heures seulement avant mon départ prévu pour la capitale européenne, ce qui m'a permis de découvrir ce que cela devait être dans les années 1940 de voyager en Europe.

Pas de files d'attente, pas de retards, salutations personnelles du pilote et mon sac le premier à sortir du carrousel. Alors que le reste du G3 était resté, par euphémisme, « coincé » à Prague (capitale européenne de la bière), quelques jours avant mon voyage, le lancement de Viage du début à la fin a été une expérience fluide et spectaculaire.